Gérer les coups de blues : 28 conseils pratiques

Les coups de blues en voyage, les petits coups de moins bien, un sentiment parfois d’ennui, de solitude ? Une sensation d’être parfois blasée par son voyage.

J’ai souvent ressenti cela, loin de ma famille et de mes proches. Le voyage solo accentue cette sensation, seule à l’autre bout du monde, à partager qu’avec soi des moments si intenses et uniques.

Alors comment je fais quand j’ai un coup de moins bien ? Parfois une envie de rentrer ? Un coup de blues en voyage ?

Les causes du coup de blues

Je remarque que mes coups de blues arrivent principalement quand je suis fatiguée. Fatiguée de parfois courir partout, même si je me soigne

Mais surtout fatiguée de changer d’environnement fréquemment. En effet, voyager, notamment sur du long terme, c’est changer très souvent d’environnement et de devoir s’adapter à chaque nouveau lieu.

Le coup de blues vient aussi souvent d’un manque de sens. Suite à plusieurs semaines/mois de voyages, on peut se sentir blasé de voyager. Il n’y a plus de nouveauté. On a intégré une nouvelle routine. Voyager pour voyager n’apporte plus vraiment d’extase

Le coup de blues peut aussi provenir d’un mal du pays. La famille et nos proches sont loin, les avoir au téléphone ne suffisent pas toujours. On peut manquer tel anniversaire, ou encore Noël. Parfois l’idée même d’une baguette, d’un bon saucisson et d’une bonne bouteille de vin, peut provoquer un coup de blues.

Les coups de blues arrivent aussi lorsque je ne suis pas avec les bonnes personnes. Que je sens que je n’ai rien à partager avec elle, que je perds mon temps mais aussi mon énergie.

Heureusement, j’ai plusieurs activités sous la main pour que le coup de blues ne reste pas trop longtemps, pour qu’il disparaisse comme il est venu.

C’est ce que tu découvres dans cet article avec 28 conseils pour diminuer ou supprimer les coups de blues en voyage

28 conseils pour éliminer les coups de blues

Accepter les coups de blues

Et il me semble que c’est VRAIMENT essentiel d’accepter ses coups de blues. Comme dans la vie de tous les jours, dans ton quotidien, en voyage, même devant les plus beaux paysages et les plus beaux couchers de soleil…

Le coup de blues apparaît. La vie n’est pas toujours rose, il faut accepter qu’il y est des hauts et des bas, dans son quotidien et même en voyage.

D’ailleurs les coups de blues ne nous permettent-ils pas de profiter des moments ou on se sent pleine de joie ?

Si nous étions heureux H24, si le bonheur était toujours présent, est-ce qu’on l’apprécierait autant ?

Si tous nos désirs étaient constamment comblés, serions-nous pour autant heureux et capable de profiter de ce bonheur ?

D’en exprimer de la gratitude ? De se sentir autant vivant ? De se sentir plein de vie ? Heureux ?

Je ne le crois pas. Pour apprécier le jour, il faut de la nuit. Pour apprécier le soleil, il nous faut accepter la pluie.

Le bonheur ne se trouve-t-il pas dans un équilibre à trouver ?

Dans le stoïcisme, qui nous permet d’accepter ce qui peut être changer, ce qui n’est pas de notre ressort ?

D’apprendre à danser sous la pluie ?

Sénèque

Accepter les coups de blues est le premier pas afin de s’en libérer.

coups de blues

Plus de confort

Comme je l’ai mentionné dans les causes du coup de blues, cela est souvent dû à un état de fatigue lors de notre voyage. D’autant plus, si tu voyages sur une longue période, avec ton backpack sur le dos. Aller d’une auberge de jeunesse à l’autre, de rencontrer constamment de nouvelles personnes, etc

C’est la raison pour laquelle, une des premières choses que je fais, lorsqu’un coup de blues arrive, c’est d’augmenter mon niveau de confort. Je prends une chambre seule dans une auberge, ou un hôtel. Je peux aussi me tourner vers un AIRBNB rien que pour moi

C’est exactement ce qui m’est arrivé lorsque j’étais à Faro. Je voyageais depuis 6 mois, après avoir fait le chemin de Compostelle, puis avoir vécu comme digital nomade au Portugal pendant 4 mois.

J’étais épuisée par tant de nouveautés, de rencontres,… Le AIRBNB fut le bienvenue.

Se reposer

Et ne rien faire pendant une journée, voir plus, selon comment on se sent. On peut parfois culpabiliser, de ne rien faire, de se dire “merde, je suis en voyage, il faut que j’en profite à 1000%

Il faut savoir accepter que le corps à son mot à dire, ce fut d’ailleurs une de mes prises de conscience sur le chemin de Compostelle.

Il faut savoir s’écouter. Et ne surtout pas culpabiliser de se reposer.

En voyage, tu es à fond 24 heures sur 24, et 7 jours sur 7. Si on n’y prend pas garde, on s’épuise, on se fatigue, on perd parfois pied.

Se reposer est souvent la solution au coup de blues. 

Quand cela m’arrive, je ne programme rien de la journée. C’est ma journée quartier libre, en quelque sorte.

Je ne mets pas de réveil, je ne prévois rien. Juste de me reposer avec un livre, une bonne série, un bon film.

Et surtout, c’est OK de ne rien faire et/ou de rester toute la journée dans mon lit.

Rester dans son lit

C’est justement le prochain point… Rester dans son lit pour un temps illimité afin de recharger les batteries.

Les plus expérimentées en voyage solo se diront que c’est tout à fait normal, et même nécessaire.

On peut dire que c’est un mal pour un bien.

Rester dans son lit autant qu’on veut, sans se préoccuper du jour, de l’heure, des choses qu’on rate.

C’est OK ! Ne surtout pas culpabiliser de rester en pyjama toute une journée.

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Dévorer une série Netflix

Je m’en rappelle très bien.. C’était en avril 2018. J’étais fatiguée de l’Australie, j’en avais marre de cet endroit, de ces personnes que je fréquentais.

Je suis alors restée dans mon lit pendant plusieurs jours, juste pour avaler la série Game of Thrones.

Et cela m’a fait un bien fou !

C’est vrai, avec le recul, je me dis que je pouvais changer d’endroit, de lieux, de personnes à fréquenter. Mais je crois, que j’étais trop fatiguée pour cela.

A ce moment-là, la série m’a apaisée, m’a permis d’y voir plus clair sur la situation.

C’est accepter ces moments d’oisiveté, pour mettre le cerveau sur pause, pour comprendre et accepter ce que l’on ressent afin de repartir du bon pied.

Regarder un film coup de coeur pour éliminer les coups de blues

Le mien ? Arnacoeur ! Quand ça ne va pas, je le regarde. D’ailleurs d’une manière générale, lorsque je voyage à l’étranger et que j’ai un coup de blues. Je regarde, la majorité du temps, des films français.

Ou des films qui font du bien, comme certains classiques de Noël. Je retrouve alors le sourire, mon âme d’enfant, ce qui permet de fuir et d’éliminer mes coups de blues.

Alors que lorsque je suis chez moi, j’ai une sélection de film voyage.

Lire

D’ordinaire, je lis peu en voyage. Alors que cela fait partie de mon quotidien en France, avec 80 livres lus par an (fiction et non fiction).

Mais en voyage, je range la plupart du temps la liseuse. Car, je profite des rencontres pour m’enrichir. Des partages autour d’un feu pour grandir. Des échanges pour apprendre et découvrir.

Mais, quand cela ne va pas, rien ne vaut la lecture d’un livre. Je vais souvent choisir un roman feel good pour ne pas avoir à trop réfléchir ou un roman policier.

Je peux trouver le livre dans l’auberge de jeunesse ou tout simplement sur ma liseuse.

Je vais lire du Chattam, du Grangé, du Bussi, ou bien du Grimaldi, du Giordano, du Ankaoua, du Gounelle

Encore une fois des auteurs, et autrices français, ou je pourrais dans certains romans retrouver une ambiance de Paris, d’un bord de mer français.

Ecouter sa chanson préférée

Ou ta playlist préférée. Pour moi, c’est tout trouvé, c’est toujours du Damien Saez ! Rien de tel pour me remettre la patate et éliminer mon coup de blues

Pour cela, j’ai toujours sur mon ma playlist de mon téléphone que je peux activer à tous moments

Écouter son émission de podcast préférée

Les podcasts se développent depuis plusieurs années. Il y a en a de plus en plus et sur tous les sujets.

Découvre une liste de podcasts spécial voyage.

Mais je peux aussi écouter des podcasts business, développement personnel, des histoires drôles, des podcasts féministes, des podcasts autour du cinéma, de la littérature, philosophie, sociologie, etc

Regarder ses photos de voyages ou d’amis

Trier les dernières photos qu’on a prises, et les envoyer à nos proches pour partager avec eux la joie d’être en voyage.

Ou bien regarder les photos de l’anniversaire de notre meilleure amie, afin de nous redonner le moral, la pêche !

Sortir au resto

En cas de coup de blues, rien de tel pour moi qu’un bon restaurant français. On a de la chance, on en trouve partout dans le monde, des Etats-Unis, à l’Amérique du Sud, en Europe, bien évidemment.

Et s’il n’y a pas de restaurant français ? Il y a sûrement une boulangerie française qui t’attend avec un croissant.

Quand je ne vais pas bien, je choisis un bon restaurant ! Point ! Je vais me faire plaisir gustativement parlant

Manger français

Ahahah, rien de tel qu’une planche charcuterie, vin rouge français dévorée à Las Vegas. Ou encore un bon faux-filet frite ratatouille à Lisbonne.

Sinon, cuisiner des crêpes, ça fonctionne à tous les coups pour me remonter le moral.

Cela me rappelle la maison, mon chez moi, c’est une manière pour moi de me sentir bien et de fuir le coup de blues

Rencontrer du monde

Un conseil qui n’est pas toujours à appliquer. Cela dépendra avant tout de la cause de ton coup de blues. Si tu es fatiguée par exemple, ce n’est pas le meilleur conseil.

En revanche, si tu manques de sens dans ton voyage, si tu te demandes parfois pourquoi tu es la, alors rencontrer de nouvelles personnes est un bon antidote.

Je me rappelle très bien, sur mon chemin de Compostelle, une journée pourrie, j’étais blessée, je n’ai pu marcher qu’une dizaine de kilomètres ce jour-là.

Je me demandais clairement, pourquoi j’étais là, si ce n’était pas le moment de rentrer chez moi, et juste de me poser dans un canapé et dormir.

Puis, je suis arrivée dans un gîte, chez Jésus et Marie, ça ne s’invente pas. Il était midi, l’hôte m’a quand même accueilli malgré l’heure. J’ai posé mes affaires, et j’ai rencontré deux personnes extraordinaires, Anael et Amin. 

Amin était en prison, il a pu sortir grâce au chemin de Compostelle, et Anaël, son accompagnateur. 

On a échangé toute l’après-midi, sur la vie, sur le voyage … Mais surtout sur la réflexion…. De qui sommes-nous… Sommes-nous le résultat de nos pensées ? De nos actes ? Est-il possible de changer ? Sommes-nous déterminés ? Est-ce la société qui nous rend “mal” comme le dit si bien Victor Hugo, dans les misérables. Sommes-nous la même personne que nous étions hier ? Ou l’expérience de la vie nous change quotidiennement ?

Ce gamin sortait de taule et m’a mis une claque face à sa maturité, et à ses pensées philosophiques.

Ca m’a littéralement redonné le sourire, et je savais pourquoi je marchais, pour rencontrer du monde, des personnes exceptionnelles de part leurs histoires, leurs parcours

Cuisiner

Cuisiner permet de mettre le cerveau en mode off, de ne penser à rien, juste d’être dans l’action, dans une forme de méditation. Avec en plus, la satisfaction de manger un excellent repas.

Pour moi, c’est les crêpes, que je peux en plus partager avec les autres voyageurs de l’auberge de jeunesse. Cela me rappelle la maison, c’est un moment de partage convivial,

Et toi, que vas-tu cuisiner ?

cuisine chez l'habitant dormir
Soirée empanadas – Ushuia

Une activité hors du commun ? Un musée ? une expo ? Un ciné ? Un théâtre ?

Alors oui, rien de hors du commun dans ces activités. Ce sont peut-être déjà des activités que tu fais chez toi, dans ton quotidien rythmé.

Mais quoique de plus hors du commun de faire ses activités à des milliers de kilomètres de chez soi.

Je me rappelle très bien de la comédie musicale La Belle et la Bête à Santiago du Chili, mais aussi des mes premiers films vus en Bolivie, en espagnol. Ce sont des expériences uniques que je ne pourrai pas vivre en France, du moins de cette manière.

Le fait de faire des activités “normales” en voyage, me permet de me sentir bien, d’éliminer le coup de blues, avec des activités ordinaires qui deviennent extraordinaires si loin de chez moi.

Penser à la chance qu’on a de voyager

Et éprouver de la gratitude, pour ce que l’on vit, ce que l’on voit, ce que l’on goûte. La gratitude est très souvent présente en voyage. On se sent chanceuses d’être là, à l’autre bout du monde, à partager une soirée au coin d’un feu, à observer des couchers du soleil magnifiques, etc

Le voyage solo apporte une telle liberté, une telle émancipation, une telle sensation d’être pleinement en vie.

Soyons gratifiantes dans nos voyages, comme dans notre quotidien, en sachant apprécier chaque moment.

Imagines les autres au boulot dès que t’as des coups de blues

J’avoue que celle-ci me donne le sourire. Imaginez les autres, se rendent au boulot dans un RER bondé, ou se lever de bonne heure pour faire leurs trajets quotidien vers le lieu de leur aliénation.

Je les imagine, dans leurs bureaux à la Défense, dans un meeting chiant, ou encore à la cafet en train de médire sur leurs collègues.

Pendant que moi, je suis à des milliers de kilomètres à vivre mes rêves.

Cela me redonne le sourire, et permet au coup de blues de se transformer en énergie positive.

Appeler une amie proche

Rien de tel qu’en cas de coup de mou, d’appeler la famille un ou une meilleur.e ami.e afin d’exprimer notre ressenti, nos coups de blues.

L’idéal est de trouver une personne qui sera réellement à l’écoute, et pas en train de vous juger parce que tu dis que tu es fatiguée… Et t’entendre répondre que tu es en vacances alors que d’autres sont au boulot.

Ces amis-là, je les fuis. D’ailleurs le voyage permet de faire le tri “dans ses amis”.

Il peut aussi s’agir dans discuter avec un autre voyageur. Les coups de blues, nous passons tous par là.

Appeler sa famille : de bons conseils pour les coups de blues

Appeler la famille et prendre des nouvelles me fait toujours du bien. Je sais qu’aussi qu’en les appelant ca leur fait plaisir. Notamment à ma grand-mère, qui est ma plus fidèle écoute, quand je suis en voyage.

Puis, depuis le COVID, c’est devenu banal de faire un apéro skype, alors pourquoi ne pas continuer cette tradition pendant tes voyages.

Écrire

Écrire, rédiger est toujours bénéfique pour moi. Je tiens un carnet de bord, que je sois en voyage ou dans mon quotidien. Cela me permet de poser sur le papier ce que je ressens, et de faire le point sur cela.

Quand ça ne va pas, que j’ai un coup de blues, je prends une feuille blanche et je note alors tout ce qui me passe par la tête sans réfléchir.

Cela me permet de vider mon esprit et ma charge mentale. 

Il en ressort souvent du positif.

Je me rappelle d’une pèlerine, qui procédait de la même façon, en écrivant à ses proches… Sans parfois envoyer la lettre, mais cela était probablement une forme de pardon ?

Se poser cette question essentielle

Le moment ou tu vas croire que je suis folle,mais que je me pose quand je ne me sens pas bien. En voyage ou dans mon quotidien, dès qu’un coup de blues arrive, vient cette question essentielle.

Et si je mourais maintenant, serais-je satisfaite du lieu ou je suis, de ces personnes qui m’entourent, de cette activité que je suis en train de faire ?

Si la réponse est non, alors je change de lieux, d’environnement, de personnes ou d’activités.

La question est radicale. C’est grâce à cette question, que je me suis retrouvée à voyager deux mois aux États-Unis, sur un coup de tête car je ne me sentais plus bien en Australie.

Le choix fut radical, mais j’ai retrouvé le sourire dès l’instant que j’ai pris cette décision.

Envoyer une carte postale

Ou le plaisir de faire plaisir ! J’aime ce moment, ou j’écris quelques mots pour mes proches, une manière pour moi de partager avec eux mon expérience, et d’éliminer le coup de blues.

Marcher pour apaiser les coups de blues

Rien ne vaut le mouvement, quand ça ne va pas. C’est souvent dans le mouvement qu’apparaissent les solutions. Une idée brillante, la réponse à un problème.

Un eurêka !

Je pratique la marche de manière quotidienne, parfois, je pars avec un problème à résoudre, un podcast dans les oreilles, ou encore sans rien, pour faire une marche contemplative.

Marcher lors d’un coup de blues, me met dans l’action, et me permet de ne plus penser à ce qui va moins bien dans ma vie

faire le chemin de compostelle
Les rencontres, la plus belle partie du chemin ?

Pleurer

Pour évacuer, pour se soulager, pour éliminer le coup de blues. Parce que pleurer fait du bien, permet d’exprimer dans la matière, ce qu’on a de cacher au fond de nous.

Pleurer est une façon d’exprimer ce mal être, ce coup de mou ! Crois-moi, cela fait un bien fou

Manger du chocolat

Rien de tel pour se rebooster. Le chocolat rempli de magnésium, est souvent la sucrerie qu’on s’offre en cas de coup de blues, dans notre quotidien, alors pourquoi ne pas en profiter en voyage.

Ça active la dopamine en alimentant le circuit court du plaisir. Et le chocolat a de nombreuses vertues comme le fait de diminuer le stress, de stimuler la mémoire et la concentration et de diminuer les risques cardio-vasculaire

Que de bonnes raisons de ne pas s’en priver.

Cela marche très bien avec un pot de glace, à la mode de Bridget Jones.

Ne nous en privant pas, c’est un excellent remède contre les coups de mou passagers.

Se faire masser : une activité anti coups de blues

Pour un instant bien-être, pour savourer le moment présent. En cas de coup de blues, le contact humain ne peut être que bénéfique, notamment avec le contact de la peau.

La séance de shopping

Rien de tel pour certaines pour retrouver sourire et bonne humeur. En s’accordant un moment à soi, et en faisant chauffer la carte bleue. Attention, cependant à voyager toujours de manière minimaliste, et à ne pas trop faire peser sur le dos, le poids de nos coups de blues

Prendre un bain

Un autre moment détente, rien qu’à soi, qui permet de nous sentir mieux, en appréciant le moment présent.

Résumé sur les coups de blues en voyage

Il est tout à fait normal d’avoir des coups de blues, dans nos voyages. La vie n’est pas toujours rose même à l’autre bout du monde.

La première étape est d’accepter ces coups de mou, de ne surtout pas culpabiliser. Même si les éléments extérieurs ressemblent à la vie de rêve, ce n’est pas toujours le cas à l’intérieur de nous même.

Accepter les coups de blues, c’est autant apprécier les moments de pures gratitudes.

Rappelle-toi, il faut la nuit, pour apprécier le jour.

Ensuite, l’idéal est d’identifier la cause du coup de blues, en se demandant d’où il vient ? Est-ce de la fatigue passagère ? Est-ce un manque de sens ? Est-ce l’environnement et les personnes autour de nous ? Est-ce le manque de la famille ? Est-ce un sentiment d’être blasée…

Puis d’identifier la ou les activités qui correspondent à la cause.

Il y a ainsi les activités bien être : shopping, bain, massage,

Les activités ou on va s’ouvrir aux autres : appeler la famille, cuisiner pour d’autres, faire une activité insolite

Les activités pour se reposer avec un peu plus de confort, ou rester dans son lit devant une bonne série

Les activités ou on se recentre sur soi, ou on prend du bon temps, en étant un poil égoïste, voire totalement égoïste.

Il faut éviter de culpabiliser lorsqu’un coup de mou arrive. Peu importe, les activités que tu décides de faire, c’est complétement OK

Il faut aussi accepter que cela demande du temps, pour se relever d’un coup de blues, de quelques heures à quelques jours.

Et toi, quelles activités fais-tu lorsqu’un coup de blues arrive ? Partage avec nous en commentaire.

Publié par Mélanie

Bonjour aventurière et bienvenue, Sur ce média, j'accompagne les femmes à oser voyager seule, à s'émanciper, et à partir à la découverte d'elle-même à l'aide de contenus de qualités et pertinents ! Mélanie, 33 ans, originaire du Mans. J'ai tout quitté en 2017 pour voyager à travers le monde. J'ai voyagé en sac à dos à travers l'Amérique latine, l'Australie, les États-Unis d'Est en Ouest, ainsi qu'en Europe. En 2021, je deviens digital nomade, depuis je voyage la moitié de l'année

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